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Ne tenez pas compte de mon billet précédent. J'ai osé y comparer un humoriste, dont le métier est de faire rire les gens, à un clown, dont le métier est également de faire rire les gens. J'ai porté l'odieux jusqu'à supposer, sans la moindre preuve, que l'homme en question pouvait avoir été triste au moment où il s'est enlevé la vie.
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Et, comble de l'inconscience, j'ai avancé qu'il avait peut-être été entraîné dans cette tristesse par les difficultés inhérentes au dur métier d'humoriste, plus précisément par le manque de reconnaissance.
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Toutes mes excuses.
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